? L’offre
Des experts qui appuient nos constats :
Intro :
Présentation rapide
Formations
Fiches Pédagogiques
Formation d’animateurs
Mallette de Jeux
Les Mathématiques ont une mauvaise image.
Les maths sont perçues comme une discipline scolaire et sélective.
Ce qui crée un blocage affectif gênant l’apprentissage de la matière.
Des résultats PISA en baisse.
40% des enfants qui sortent de l’école primaire sont en échec scolaire en maths.
Les enfants en échec scolaire à la sortie du primaire ne rattrape pas leur retard au collège.
Aujourd’hui, prise de conscience de la qualité didactique du jeu.
L’éducation ne se fait plus qu’à l’école (périscolaire, soutien scolaire, etc.)
Le projet étincelle
Une aide pour les enseignants de primaire pour mettre en place des activités ludiques et mathématiques.
Historique :
Philosophie :
Nicolas Pelay :
Le reste de l’équipe :
Didactique et ludique
Étude des jeux déjà disponibles pour les enseignants.
Actions menées auprès des enfants :
Ils nous font confiance :
Les mathématiques sont une matière particulièrement mal perçue dans notre société. Elle est perçue comme compliquée et particulièrement sélective pour les parents, les enfants et même pour enseignants qui sont plus largement dotés d’un cursus littéraire. Cette réticence à la matière est un frein à son apprentissage.
La baisse de niveau est flagrante, en particulier aux derniers résultats PISA.
Il est important de s’attaquer au problème car un retard en mathématiques en primaire ne se rattrape pas au collège.
L’Éducation Nationale a diffusé un texte pour encourager l’utilisation des jeux pour l’enseignement des mathématiques. Mais beaucoup d’enseignants se sentent déboussolés face à cette mesure. Ils ignorent comment installer un temps ludique dans leur classe, quels jeux proposer, etc.
Super-Plaisir Maths est là pour résoudre le problème !
Le projet Étincelle est une aide proposée aux enseignants de primaire pour mettre en place des activités ludiques et mathématiques dans leur classe.
Une thèse
2010 : Après un master en didactique, Nicolas Pelay est doctorant en didactique. Il a choisi comme sujet de thèse autour de l’apprentissage des mathématiques par le jeu. Le constat est simple : la manipulation est un facteur important dans l’apprentissage d’une matière.
Le jeu peut être vecteur de connaissance.
Une association
Face à l’absence de cet aspect manipulation dans le parcours éducatif de l’enfant, Nicolas crée l’association Plaisir Maths dont il appuie la philosophie sur les conclusions de sa thèse.
L’association développe et organise des animations pour les jeunes qui allient mathématiques et jeux.
Association créée en 2011 par Nicolas Pelay en parallèle de sa thèse Rapidement, il se rend compte de la nécessité d’appliquer ses recherches sur le terrain. Il crée l’association Plaisir Maths avec laquelle il organise des activités mathématiques pour les enfants. L’association travaille avec des structures comme la Maison des Maths de Lyon, celle de Bruxelles…
Une entreprise
Après sa thèse, Nicolas fait le choix de se consacrer entièrement à Plaisir Math. Pour offrir des services plus professionnels et mieux répondre aux besoins des structures institutionnelles, il fait évoluer Plaisir-Maths en entreprise.
Le décrochage scolaire n’a qu’a bien se tenir. Nicolas arrive.
[old]
En 2015, Plaisir Maths devient une entreprise en 2015 pour offrir aux structures un service plus professionnel. L’activité de Plaisir Maths était diverse : mise en place d’activités ludiques et mathématiques en classe, animation d’ateliers, animation d’écoles d’été. Aujourd’hui, plaisir Maths unifie son activité et propose son aide aux structures qui souhaite s’attaquer au décrochage scolaire et en particulier celui lié au mathématiques.
[/old]
Malaimé
Les mathématiques ont aujourd’hui une mauvaise image. L’histoire en a fait la matière de sélection pour les grandes écoles, un moyen de reconnaître une certaine élite, une matière compliquée, réservée aux chercheurs.
Cette pression sociale ne permet pas à l’enfant d’en avoir une image positive. Le jeune qui s’y intéressera sera facilement considéré comme différent et risque d’être rejeté par ses camarades.
Chez Plaisir Maths, nous pensons que les mathématiques sont une matière comme les autres. Que c’est un langage pour comprendre ce qui nous entoure, et que tout le monde a les moyens d’en comprendre les principaux outils.
La vraie barrière dans l’apprentissage des maths est sa mauvaise image. Et c’est à ce point que Plaisir Maths a décidé de s’attaquer.
Par le jeu, l’enfant découvre les mathématiques dans un cadre neutre, non scolaire, où aucune pression sociale n’est exercée. En s’amusant, l’enfant utilise des outils de réflexion scientifique et surtout lui font comprendre que les mathématiques ne sont pas seulement cette chose horrible et compliquée que lui décrit son entourage.
Chez Plaisir Maths, on pense qu’avant de vouloir enseigner les mathématiques, il faut en redonner le goût aux enfants et que le jeu est la meilleure solution pour y arriver.
Nicolas Pelay
Il se lance dans une thèse : la didactique des jeux.
Ses recherches le mène à créer l’association Plaisir-Maths.
effectue un doctorat en didactique sur les « Jeux et apprentissages mathématiques ».
En parallèle, il crée l’association Plaisir Maths qui développe des activités ludiques pour enseigner les mathématiques et décomplexer les jeunes face à cette matière. En 2014, pour pouvoir se consacrer entièrement à cette mission et proposer un service professionnel, il fait évoluer Plaisir Maths qui devient une petite entreprise. Ses recherches en didactique du jeu sont la base de la philosophie Plaisir Maths : redonner le goût des mathématiques aux jeunes par le jeu.